Ma rencontre avec Soulages contredit le principe de l’élimination des reflets lors de la photographies d’une toile, puisque lors des longues séances de prise de vues nous nous efforcions de trouver les meilleurs reflets pour que la « réalité » de la reproduction conserve l’esprit de Pierre et soit fidèle à son principe d’espace crée par la lumière et par sa réflexions la toile.
J’ai appliqué ce principe avec la Bataille de San Romano sachant que Soulages avait juxtaposé une de ces œuvres avec cet toile et confrontant ainsi sa peinture dite « silencieuse » avec une peinture de « récit ».